KATUTURA |
|
Site d'échange d'idées / Debate Weblog J'attends vos opinions et vos points de vue / Your opinion is expected : Commentaires 24Heures English Au Quotidien Katutura YESHUA Etre Soeur Etre étranger Vieillir/mourir Afrique du Sud Jean est son nom Gilbert Nelson Mandela Il est grand temps Le blog de Gilbert Salem Message entre deux mondes
Archives
novembre 2002 décembre 2002 janvier 2003 février 2003 mars 2003 avril 2003 mai 2003 juin 2003 juillet 2003 août 2003 septembre 2003 octobre 2003 novembre 2003 janvier 2004 février 2004 mars 2004 mai 2004 juin 2004 juillet 2004 août 2004 septembre 2004 octobre 2004 novembre 2004 décembre 2004 janvier 2005 février 2005 mars 2005 avril 2005 mai 2005 juin 2005 juillet 2005 septembre 2005 octobre 2005 novembre 2005 décembre 2005 janvier 2006 février 2006 mars 2006 mai 2006 juin 2006 juillet 2006 août 2006 septembre 2006 octobre 2006 novembre 2006 décembre 2006 janvier 2007 février 2007 mars 2007 avril 2007 mai 2007 juin 2007 novembre 2007 décembre 2007 janvier 2008 février 2008 mars 2008 avril 2008 mai 2008 juin 2008 juillet 2008 août 2008 septembre 2008 octobre 2008 novembre 2008 décembre 2008 janvier 2009 février 2009 mars 2009 avril 2009 mai 2009 juin 2009 juillet 2009 août 2009 septembre 2009 octobre 2009 novembre 2009 décembre 2009 mai 2011 |
vendredi, mai 01, 2009
1er mai 2009 La fête des travailleurs une fête pour ceux qui ont la chance d’aimer leur travail pour d’autres, moins chanceux, au fond d’une mine, dans une fonderie, à la caisse d’un supermarché ou simplement au chômage la « fête » repose sur la lutte et la solidarité Le 1er mai c’est aussi la fête de Joseph de Nazareth le père de « Yeschoua qui périt sur une croix qui était en bois, comme il en avait dû peut-être tailler lui-même quand il était apprenti chez le charpentier Joseph » (Le Puzzle amoureux, p 101, Gilbert Salem). J’écrivais cela en 2003 et aujourd’hui, 6 ans plus tard, la fête des travailleursest aussi celle des chômeurs. Descendre dans la rue en grand nombre et témoigner qu’il n’est pas possible de prier « donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien » si et lorsque le gagne-pain est privé du droit fondamental au travail quotidien! Au télé journale (TSR) de ce soir, il était bien triste de voir le journaliste s’étendre sur les patrons pris en otage dans des usines en France et raconter avec force détails comment ils (les patrons) ressentent cette humiliation et comment ils peuvent agir pour se tirer d’affaire. Le journaliste de donner la parole – était-ce l’espace d’une minute ? – à la représentante d’un syndicat pour dire en vitesse ce qui poussait les travailleurs à entreprendre ces actions. Ce qui n’a pas été mentionné du tout, et qui devrait faire le sujet d’une analyse sérieuse, c’est la distance qui se crée entre les dirigeants des syndicats et la masse ouvrière qui se sent de plus en plus trahie. Qu’en est-il de la solidarité concrète et dans la durée ? Et où mènerait un soulèvement des masses non organisées et sans vrais leaders ? |