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dimanche, avril 06, 2003
Cette semaine à Genève : Cycle de conférences et débats publics sur les relations entre la Suisse et l'Afrique du Sud Mercredi 2 avril à 20h15, IUED, (Institut d'études du développement) rue Rothschild 24, salle Bungener Sujet traité: La présence suisse en Afrique du Sud et le commerce des diamants et de l'or sud-africains en Suisse. Roger de Diesbach, que tant connaissent et dont j’apprécie les enquêtes fouillées et sans concession, nous rappelle l’histoire du Commerce des diamants et de l’or sud-africains en Suisse ! Opaque, cette réalité! On comprend mieux les "fausses vérités" du présent quand on détecte les mensonges du passé ! Merci. Il était secondé par le vigoureux tandem, Sandra Bott et David Gygax, chargés de recherche en histoire à l’Université de Lausanne. Ils jettent un regard clair sur des éléments où doivent bien s’y retrouver, à moins qu’ils ne soient aveugles, certaines banques et pas mal d’autorités politiques l'or, les diamants... et les mineurs Moi, j’écoutais avec le cœur lourd et fatigué des horreurs de l’apartheid combattue, avec l’âme de ce petit peuple qui lutte, aujourd’hui, sous le nouveau régime, comme hier sous l’ancien, simplement pour la survie… Et j’avais bien envie de m’éclipser pour me mettre à l’ombre de Mama Africa, notre Miriam Makeba qui à la même heure, à un saut de puce de l’IUED, où je languissais, chantait tous les bémols et les dièzes de notre rage de vivre au sud comme en Irak comme à Lausanne La voici à l’âge du banissement et de la lutte Miriam Makeba, est née à Johannesburg le 4 mars 1932. Sa mère était une « Sangoma », c’est-à-dire une guérisseuse de la tradition mystique des Xhosas. L’apartheid était déjà un fait à l’époque et Miriam a ainsi passé les six premiers mois de sa vie dans une prison sud africaine avec sa maman par ce qu’elle vendait de la « kaffirbeer » pour vivre… La lutte pour la libération a inspiré sa vie, sa musique, ses chants… « si j’avais eu un choix, j’aurais certainement choisi d’être ce que je suis, opprimée avec les miens plutôt qu’oppresseur avec les autres »… dit-elle le 2 avril 2003 dès 20h30 au Victoria Hall, Genève! Et la voici aujourd’hui avec ses belles septante et une années qui chantent Pata Pata is the name of a dance We do down Johannesburg way And everybody starts to move As soon as Pata Pata starts to play – hoo hoo hoo |