KATUTURA


samedi, mars 29, 2003
 


Il y a ce portrait dans 24 heures d’aujourd’hui (je n’arrive pas à le transférer, mais il est sur le papier !)
En anglais, nous disons : « Beauty is in the eye of the beholder » et difficilement, j’essaie de traduire :
« la beauté est dans l’œil de celui qui regarde ». La bonté, la générosité, la vérité enfin, aussi…
Gilbert Salem a un regard qui fait grandir et force à mûrir. Moi dans tous les cas.
Dans ce portrait et cette photo : cette terre qui enfante ces floraisons d’êtres humains,
l’espace d’une petite vie en quête de bonheur, pour y retomber, dans cette terre,
comme une poussière de rêves brisés… si ce n’était la transcendance, et Jésus…
mais je ne suis pas sûre, puisque je crois…

Gilbert, à la page 183 de « Le Puzzle amoureux » donne la parole à Saint Paul.
Il dit : « Il n’y a plus ni juif ni grec, il n’y a plus ni esclave ni homme libre,
il n’y a plus ni homme ni femme ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. »

C’est l’arc-en-ciel, les contraires dans l’harmonie de l’amour…
Mais qu’en est-il, regardez :



Gilbert Salem : Donc si nous sommes tous une seule et même personne, nous ne serons
pas à l’étroit au paradis. Sur terre, comme sur l’esplanade des mosquées de Jérusalem,
c’est autre chose. Les Evangiles font dire à mon (notre) Bien-Aimé une parole troublante :
« Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix dans le monde ;
je n’apporte pas la paix, mais l’épée. » (Matthieu, 10-34)
Que voulait-il dire par là… l’homme de Nazareth ? (fin de citation)

Je n’arrête pas d’y réfléchir alors que le rêve de bonheur persiste… et la foi