Pourquoi ce brouhaha dans l’air et dans les cœurs ?
cette peur qui pollue le ciel serein de notre belle ville…
barricades, barbelés, fenêtres et vitrines et portes fermées…
Pourquoi me pas pavoiser nos rues de mille et mille drapeaux « Pace »
et « soyez les bienvenus » : ensemble on est en train de rêver
d’un monde où l’on ose s’aimer… et de le construire, ce monde, tout neuf,
en marchant dans l’insécurité qui fait notre audace !